Mercredi 23 mai 2012 - 9h à 19h
Salle des Boiseries, pavillon Judith-Jasmin, 405, rue Sainte-Catherine Est, Local J-2805, Métro Berri-UQAM
Premier panel – Évaluer le changement : perspectives théoriques et empiriques
- Michel Vernières, Université Panthéon-Sorbonne : La coopération en matière de valorisation du patrimoine : méthode d’évaluation des projets de coopération.
- Gabriel C. Goyette, CIRDIS (UQAM) : Continuités et ruptures dans le régime de l’aide : Éléments de théorie pour la pratique.
Deuxième panel – Transformations des logiques nationales de coopération : Regards croisés France–Canada sur le secteur minier
- Claire Mainguy, Université de Strasbourg : L’exploitation aurifère au Mali : quel rôle pour la coopération française ?
- Bonnie Campbell, CIRDIS (UQAM) : Transformations récentes dans la politique canadienne en matière de coopération dans le secteur minier
Troisième panel – Politiques rurales et agricoles : Analyse comparative des expériences françaises et canadiennes en Afrique et en Asie
- Denis Pesche, CIRAD ; Jean-Jacques Gabas, Université Paris-VIII-CIRAD ; et Vincent Ribier, CIRAD : Le processus d’élaboration de la politique française de coopération dans le secteur agricole et du développement rural : trois décennies de transformations (1980 - 2010).
- Dominique Caouette, REDTAC (UdM) : Le régime de l’aide canadienne en question : « Perspectives critiques sur les politiques de développement rural et agricoles de l’ACDI » ?
Quatrième panel – Logiques nationales de coopération : Quels enseignements tirer de quatre décennies de transformations ?
- Jean-Fabien Steck, Université Paris Ouest Nanterre La Défense : Les études urbaines face aux politiques de coopération : quelles influences réciproques, quels objets, quelles pratiques de recherche ?
- Annik Osmont : Les transformations de l’action urbaine de la coopération française depuis 40 ans.
La conférence sera suivie d’un vin d’honneur pour le lancement des ouvrages suivants : Le temps de la Chine en Afrique, Patrimoine et Développement et Les liens entre sécurité et développement. De l’évidence à l’ambiguïté.