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La réintégration des filles soldats en République démocratique du Congo : quelle réintégration possible ?

Puce noire Jeudi 25 février 2010.De 12h30 à 14h.Local A-1715
Pavillon Hubert-Aquin, UQAM
, Chaire C.-A. Poissant de recherche sur la gouvernance et l’aide au développement

Dans le cadre de sa série de CONFÉRENCES-MIDIS

Avec :
Stéphanie Ménard détient un baccalauréat en communication et politique, de même qu’un certificat en droit de l’Université de Montréal. Étudiante à la maîtrise en science politique à l’UQÀM, elle s’intéresse à la problématique des filles associées aux forces et aux groupes armés. En 2008, en tant qu’assistance de projet au Bureau international des droits des enfants, elle a contribué à la rédaction du rapport Faire des droits de l’enfant une réalité dans la région des Grands Lacs africains : Les profils nationaux du Burundi, de la République du Congo, de la République démocratique du Congo et du Rwanda. Elle se concentre depuis à la rédaction de son mémoire.

Un aperçu du sujet :
Le recrutement et l’utilisation des enfants dans les conflits armés est une problématique bien connue et pour laquelle d’importantes ressources financières sont mobilisées. Or, malgré la popularité du thème, le problème persiste, les interventions semblent peu efficaces et les filles, grandes oubliées des conflits, demeurent très peu appuyées.

En République démocratique du Congo, alors que les filles comptent pour 40 % des enfants impliqués dans le conflit, elles demeurent largement absentes des programmes de réinsertion.

Dans un contexte social et économique où les filles sont perçues comme passives et soumises, les filles soldats dérogent à la norme et son fortement marginalisées au sein de leur famille et de la société congolaise. Pour lutter contre cette marginalisation, des programmes de réintégration formels et informels ont été instaurés sur le territoire. Financés par d’importantes organisations internationales, notamment la Banque mondial et l’Unicef, les programmes démontrent peu de résultats positifs et semblent incapables d’offrir une réelle réintégration aux filles.

Entrée libre

Lunch permis

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