« L’une des conséquences majeures, parmi d’autres, de l’actuelle pandémie de COVID-19 s’est illustrée par le renforcement du processus de monopolisation d’Internet et l’amplification de ses impacts dévastateurs pour les industries culturelles. »
« Actuellement, les industries locales sont placées sous respiration artificielle parce qu’elles subissent un mouvement de déstructuration sans précédent. Si les États n’opèrent pas un rééquilibrage en faveur de la souveraineté numérique et culturelle, la crise sanitaire mondiale devrait aggraver les répercussions sur les industries culturelles, les conditions de vie des artistes et des créateurs ».
Cet article vise d’abord à examiner les défis que pose la numérisation des pratiques et des objets culturels dans un marché dominé par quelques grandes firmes. Tandis que la crise sanitaire mondiale confirme la monopolisation d’Internet, ce document aborde ensuite l’enjeu de la réglementation de l’industrie des médias et des télécommunications. Enfin, face aux pratiques anticoncurrentielles des géants américains du web, l’auteure suggère de considérer la pandémie comme une opportunité de reconstruire la diplomatie culturelle numérique.
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