Résumé :
En cette fin juillet, la situation grecque dans l’Eurozone est loin d’être stabilisée. L’issue hésite encore entre deux solutions non-coopératives et une solution coopérative. Les atermoiements constatés reflètent l’incapacité des dirigeants politiques européens à adopter clairement un principe de réalité face à l’endettement grec, à mesurer les risques d’un défaut unilatéral et à dépasser la configuration institutionnelle actuelle de l’Euro.
ISSN 2563-9234