Dans ce cahier de recherche, nous poursuivrons la réflexion entamée par
Anick Druelle1 dans sa thèse de doctorat concernant les projets et les stratégies
des mouvements féministes et de femmes2 dans le contexte de la
mondialisation des marchés. Plus précisément, nous ébaucherons quelques
analyses concernant la vaste mobilisation de la Marche mondiale des femmes en
l’an 2000 initiée par des Québécoises et à laquelle a adhéré près de 5500
groupes provenant de 163 pays.3 (suite dans le document joint)