Accueil > Publications - Centre d’études sur l’intégration et la mondialisation (CEIM) > ENTRE EMBELLIE ET EMBOLIE : le conjoncturel local ne doit pas cacher le (…)

ENTRE EMBELLIE ET EMBOLIE : le conjoncturel local ne doit pas cacher le structurel global

N°30, Avril 2015

Henri Regnault, 29 avril 2015

Résumé

Youpi !!! La crise est finie, c’est la reprise, c’est l’embellie ! Faut le dire vite pour y croire, et surtout ne pas ouvrir le placard de l’emploi, pas non plus celui de la dette…La fiction de la soutenabilité de la dette ne peut être maintenue que par des taux d’intérêt très faibles ou nuls. Or un système financier sain, organisant rationnellement les préférences entre le présent et le futur, n’est pas compatible avec une politique de taux zéro : sinon c’est l’embolie. Il va donc falloir sortir de cette politique… et ça va faire très mal, partout et à tous les niveaux.

Bonne lecture.

ISSN 2563-9234

P.-S.

1. Des embellies conjoncturelles localisées, fragiles et ambigües, p. 3
2. La grosse dette qui monte…qui monte…qui monte ! p. 8
3. Aimez-vous la ZIRP, préférez-vous la NIRP, ou la PIRP ? p.10
4. Vers l’embolie structurelle globale ? p.13
5. Et mes sous dans tout ça : on achève bien les rentiers ! p.17

Partager


Mots-clés:

Europe, La crise

Textes sur le même sujet

Henri Regnault

Centre interdisciplinaire de recherche
en développement international et société (CIRDIS)

Université du Québec à Montréal
Pavillon Hubert-Aquin
400, rue Sainte-Catherine Est, bureau A-3335
Montréal (Québec) H2L 2C5 Canada

Téléphone 514 987-3000 poste 6222
cirdis@uqam.ca

Suivez-nous!

Blogue Un seul monde

Institut d'études internationales de Montréal (IEIM)         Centre interdisciplinaire de recherche en développement international et société (CIRDIS)         Groupe de recherche sur les activités minières en Afrique (GRAMA)         Observatoire sur la coopération internationale