Silvana Forti est anthropologue et doctorante en santé communautaire à l’Université Laval. Elle discute du Coup d’État au Honduras de juin 2009 en mettant l’accent sur la résistance des mouvements sociaux honduriens jusqu’à l’heure actuelle.
Dernières publications
VIENT DE PARAITRE
Gendering the Urban Social Movement and Public Housing Policy in São Paulo
Latin American Perspectives
L’Association Canadienne des Études Latino-Américaines et des Caraïbes (ACÉLAC) et les
programmes interdisciplinaires d’Études latino-américaines et des caraïbes et de Développent
international (LACS/IDEV) de l’Université de Guelph accueilleront le Colloque de l’ACÉLAC
2017 du 3 au 4 juin à l’Université de Guelph, qui se trouve à 90km de Toronto.
Appel à communications
Colloque de l’ACÉLAC 2017 du 3 au 4 juin à l’Université de Guelph
Murs, barrières et mobilité
« Nous, les communautés autochtones, qui formons la majorité des habitants de la Sierra Norte de Puebla, disons haut et fort que nous sommes prêts à défendre nos territoires et nos vies », écrivent les signataires du texte
La terre et l’eau ne sont pas des marchandises
Lettre adressée aux dirigeants de la compagnie Innergex Renewable Resources, basée à Longueuil
84e du Congrès de l’Acfas
Colloque 462 - Crises des gauches, crises des modèles de développement : la redéfinition du politique en Amérique latine
Colloque du GREPIP
Dossiers d’actualité | Élections au Pérou
Élections 2016 : la participation politique des femmes en-dehors de tout intérêt politique au Pérou
Par Simon Morin
enREDando conversó con el periodista y pensador uruguayo Raúl Zibechi, en el marco del 3º Congreso Internacional de Salud Socioambiental, realizado en Rosario entre el 16 y 19 de junio. ¿Cómo cambiaron las relaciones de fuerza al interior de los movimientos, a partir de la implementación de políticas sociales?; ¿Porqué el modelo extractivo genera una sociedad sin sujetos? Zibechi analiza la coyuntura político económica y su relación con los movimientos sociales.
Dossiers d’actualité | Reportaje a Raúl Zibechi
“El modelo extractivo genera una sociedad sin sujetos”
Depuis le mois d’avril, le Guatemala – le pays du printemps éternel - connait d’importantes mobilisations citoyennes comme réaction aux annonces d’enquêtes pour corruption impliquant de nombreux dirigeants politiques. Ces événements ont lieu dans un contexte de sous-financement des institutions publiques (particulièrement criant dans le domaine de la santé où les hôpitaux souffrent d’une pénurie de médicaments et du retard dans le paiement des salaires des employés), de scandales environnementaux, ainsi que d’un niveau aigu de violence et de criminalité à travers le pays.
Dossiers d’actualité | Marie-Dominik Langlois
« Guatemala, tu fleuriras »
Développements et défis autour des mobilisations contre la corruption au Guatemala
Les récentes élections municipales et de quelques unes des communautés autonomes (régions) bouleversent l’échiquier politique espagnol. Les victoires inattendues aux municipales de nouvelles coalitions citoyennes issues des mouvements associatifs et de petits partis de gauche combinées à l’ irruption décisive des nouveaux partis nationaux Podemos et Ciudadanos dans les communautés autonomes met en échec le bipartidisme (Parti Populaire/Parti Socialiste) dominant depuis la Transition démocratique de 1975. Vainqueurs dans 7 grandes villes du nord au sud du pays dont les trois plus importantes , Madrid, Barcelone et Valencia, ces coalitions appellent à une transition d’un autre type en bousculant les mentalités et la culture politique et en forçant, dans la plupart des cas, à gouverner en mode minoritaire c’est à dire à composer avec les différents partis. À noter ici que le jeune parti de gauche Podemos qui a fait une apparition fulgurante au niveau européen en 2014 et fait aujourd’hui une entrée remarquée dans les communautés autonomes ne présentait pas de candidats aux municipales mais participait ou, le plus souvent, appuyait les coalitions citoyennes dans plusieurs villes.
Les Communs entrent à l’Hotel de Ville
Texte rédigé par Alain Ambrosi, Barcelone,
Vidéos | Conférence publique de Maristella Svampa à l’UQAM
« Le consensus des commodities et les conflits socio-environnementaux en Amérique latine »
CONFÉRENCIERS :
José A. Mariman
PhD. en science politique. Spécialiste de la question mapuche, il est coordonnateur du Programme en études autochtones et interculturelles de l’Université Alberto Hurtado du Chili.
Andrés Jouannet Valderrama
PhD. en science politique. Conseiller auprès du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, il est aussi un chercheur du Centre de recherche de citadine de latino-Amérique durable (CICLAS)
Lundi 25 mai 2015 à 17h00
Salle PK-3210, Pavillon président Kennedy,
201, av. du Président-Kennedy, Montréal, H2X 3Y7
Université du Québec à Montréal (UQAM)
Conférence en espagnol
Autonomía y participación política indígena en Chile
Conférence sur la participation politique autochtone au Chili et la question de l’autonomie
Lundi 25 mai 2015 à 17h00 Salle PK-3210 (Pavillon président Kennedy)
Ouvrages | Chapitres de livres | Nouvelle publication du GREPIP
Hybridité politique et résistances dans les pays du Sud.
Septembre 2015
Les déléguéEs invitéEs, un étudiant de l’École normale rurale d’Ayotzinapa, une mère d’un des étudiants disparus et un représentant juridique des familles des étudiants disparus présenteront leurs témoignages lors d’une conférence publique à l’UQAM. La conférence publique avec les témoignages des déléguéEs invitéEs d’Ayotzinapa et la participation de Pierre Beaucage, professeur émérite au Département d’anthropologie de l’Université de Montréal, membre du RELAM et de la Chaire Nycole Turmel (Salle A-M050). Pour informations additionnelles et inscriptions voir : https://www.weezevent.com/ayotzinapa-crise-de-droits-complicites-d-etat
http://www.evenements.uqam.ca/?com=detail&eID=599518
https://www.facebook.com/events/827287257346292/
Caravane Ayotzinapa à Montréal organisée par le Comité pour les droits humains en Amérique latine (CDHAL) en collaboration avec le Réseau d’études latino-américaines de Montréal (RELAM) et la Chaire Nycole Turmel sur les espaces publics et les innovations politiques
Ayotzinapa : crise de droits, complicités d’État
mercredi 22 avril 2015 de 18h00 à 21 h, Salle AM-050, UQAM
Accès libre aux travaux de la professeure-chercheure d’origine mexicaine Rosalva Aída Hernández Castillo
http://rosalvaaida.wix.com/rahc
Téléchargement gratuit des publications
Livres et travaux de Rosalva Aida Hernandez Castillo
Conférence en espagnol de Valeria Sanchez Michel, PhD histoire, Colegio de México
Réseau d’études latino-américaines de Montréal (RELAM)
Ciudades universitarias : un ideal latinoamericano
mardi 10 mars 2015 de 12h30 à 14 h, Local A-3316, UQAM