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Changements et continuités dans le système politique colombien : Haciendas et violences

Par Olivier Plamondon


Cet État qui n’a pas le monopole de la violence légitime, qui est loin d’avoir le contrôle sur son territoire, qui connaît une violence endémique illustrée par le plus haut taux d’homicide au monde dans les années 901, et qui a un déficit historique au niveau des réformes sociales, certains le qualifieraient de « failed-state ». En effet, ce concept plutôt flexible et critiquable de l’administration états-unienne renvoie aux difficultés d’analyser des dynamiques politiques et sociales qui sont caractéristiques d’une situation unique au monde, celle de la Colombie. Néanmoins, c’est justement ce contexte unique, et surtout cette violence devenue interaction sociale qui pousse l’analyste à chercher des clés qui permettent de comprendre certaines dynamiques et d’éclairer un tant soit peut ladite conjoncture.

(suite dans le document joint)

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