Depuis sa première édition à Porto Alegre, en janvier 2001, le Forum social mondial (FSM) est apparu comme un catalyseur de cet autre monde possible que la mouvance altermondialiste oppose à la globalisation néolibérale. C’est donc au sein de cet « espace de rencontre ouvert », par le croisement des multiples réflexions et des expériences particulières de luttes, que s’est progressivement articulée l’utopie altermondialiste, comme le miroir inversée de l’idéologie néolibérale fondée sur les principes du consensus de Washington, et dont le Forum économique mondial (FEM) de Davos s’est fait le relais.
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