Chaiers de recherche du CEIM, No. 02-07, décembre 2003.
Dans les années 1990 les crises financières ont frappé une nouvelle fois, à la périphérie du système. L’action rapide et concertée du FMI et des autorités monétaires des grands pays industrialisés aura permis d’éviter leur propagation à l’ensemble du système, mais les « dégâts » furent considérables, au plan humain comme au plan financier. Deux points de vue vont s’affronter. Pour les uns, il s’agissait là d’un simple dysfonctionnement de système, en grande partie imputable aux erreurs de gouvernance, au manque de vigilance de la part du FMI et à la fragilité des systèmes financiers périphériques. (suite dans le document joint)