Est-il possible de concilier commerce et environnement au sein d’un accord de libre-échange ? Est-ce que la structure de ce modèle d’intégration négative ( où l’on cherche davantage à éliminer les barrières plutôt qu’à construire des ponts) est compatible avec la mission visant un développement durable qui est encastrée dans l’accord ? L’ALÉNA, qui est un accord à prime abord commercial, apparaît comme un obstacle à l’élaboration de politiques environnementales progressistes et ne remplace pas la perte de souveraineté qu’elle implique par une organisation trilatérale qui est dotée de pouvoirs appropriés. (suite dans le document joint)
Mots-clés :
Amérique du Nord, Notes de recherche , Régionalisme, Gouvernance et développement durable, Environnement