« Après une décennie de croissance stimulée essentiellement par l’exploitation des matières premières et agricoles, la chute des cours mondiaux a fait prendre conscience au Premier ministre Thongloun Sisoulith de la nécessité de procéder à une diversification de la politique nationale au Laos. Cela fait quatre ans que le pays connaît un ralentissement économique doublé d’un durcissement très critiqué de la répression en matière de libertés civiles et des droits politiques de la population. Or le gouvernement ne doit pas oublier que l’économie du Laos est terriblement dépendante de son ouverture aux acteurs externes, dont ses trois puissants voisins (Chine, Thaïlande et Vietnam), sur lesquels reposent précisément la stabilité socio-économique du pays et la légitimité du pouvoir de l’État-Parti. »
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