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Memoria y olvido : reflexión sobre la enseñanza de la historia desde México y Argentina

Vendredi 10 novembre 2017, de 12h30 à 14h, salle A-3316, Pavillon Hubert-Aquin (UQAM)

Par Centre d’études sur l’intégration et la mondialisation (CEIM), Laboratoire interdisciplinaire d’études latino-américaines, Observatoire des Amériques (OdA), RELAM

Conferencista :

Valeria Sánchez Michel,
Programa Interdisciplinario sobre Política y Prácticas Educativas, Centro de Investigación y Docencia Económicas,
México

Presidencia :

Geneviève Dorais,
Université du Québec à Montréal

Resumen :

La enseñanza de la historia no sólo es la transmisión de conocimientos sino también contribuye a la creación de identidad y a la formación de ciudadanos. Así, es importante reflexionar sobre aquellos temas o momentos de la historia en los que se ha entrado en debate sobre cómo incluirlos en los programas de estudio. En esta ponencia se reflexiona sobre cómo se ha tratado de abordar la historia reciente en México, por ejemplo, el caso del movimiento estudiantil de 1968, o en Argentina el de la dictadura militar. La relación entre la memoria y el olvido se hace patente y nos muestra los desafíos de la enseñanza de la historia con temas que son socialmente vivos.


Conférencière :

Valeria Sánchez Michel,
Programa Interdisciplinario sobre Política y Prácticas Educativas, Centro de Investigación y Docencia Económicas,
México

Présidence :

Geneviève Dorais,
Université du Québec à Montréal

Résumé :

L’enseignement de l’histoire ne contribue pas seulement à la transmission du savoir, mais aussi à la création de l’identité et à la formation des citoyens. Ainsi, il est important de réfléchir à la façon dont on inclut les questions et les moments de l’histoire dans les programmes d’études. Cet article se penche sur la façon dont l’histoire récente a été traitée, en prenant par exemple le cas du mouvement étudiant de 1968 au Mexique ou celui de la dictature militaire en Argentine. La relation entre la mémoire et l’oubli devient alors claire et nous montre les défis de l’enseignement de l’histoire avec des thèmes socialement vivants.

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