Avec :
Aude Marie Marcoux est détentrice d’une maîtrise en science politique, concentration relations internationales, politique étrangère, coopération et développement de l’UQAM, dans le cadre de laquelle elle a obtenu une bourse de recherche octroyée par la Chaire Charles-Albert Poissant de recherche sur la gouvernance et l’aide au développement. Elle est journaliste indépendante.
Un aperçu du sujet :
Par une démarche empirique et déductive, certaine présentation cherche à exposer que malgré certaines déclarations qui pourraient laisser supposer le contraire, à quelques exceptions près, le Canada ne se démarque pas des autres bailleurs de fonds quant à ses initiatives en matière d’allégement de la dette des pays en développement (PED) les plus pauvres. En effet, la majorité des mesures adoptées dans ce domaine s’alignent sur les stratégies que préconisent les institutions financières internationales (IFI). Si le Canada a certes assumé un rôle d’initiateur de mesures, il a également adopté une approche suiviste en ne contribuant pas aux débats et à la réflexion sur les stratégies de développement mises en place par les mécanismes d’allégement de dette prônés par les IFI.
Entrée libre
Lunch permis