Dans le cadre de la série Regards de l’IEIM, nous avons le plaisir de vous proposer un texte intitulé « La relation Canada-Chine au prisme de la transition énergétique ».
Extraits :
Deuxième partenaire commercial bilatéral (derrière les États-Unis), la Chine est [...] pour le Canada et le Québec le plus important marché d’exportation en Asie.
En tant que l’un des plus grands producteurs mondiaux de métaux bruts et de minéraux, le Canada souhaite répondre à la demande croissante de véhicules électriques à l’échelle globale, notamment en Chine, et se positionner en tant que maillon clé de la chaîne d’approvisionnement des batteries.
Si à l’échelle de la planète les énergies renouvelables (intermittentes et non pilotables) ne peuvent répondre aux besoins croissants d’électricité, ce sont d’autres ressources, les minerais critiques et les métaux stratégiques, qui sont le véritable catalyseur d’une transition vers une économie décarbonée.
[La transition énergétique globale] se présente comme une opportunité de renforcer la relation Canada-Chine en matière de commerce bilatéral et d’investissement, en améliorant la collaboration dans les secteurs de l’énergie et des technologies propres.
Le Canada et la Chine vont se trouver dans une relation de « coopétition » (…) [qui] renvoie donc à une relation paradoxale dans laquelle des acteurs économiques coopèrent et se concurrencent en même temps.
Découvrez le texte complet en pièce jointe.
Auteur
Gauthier Mouton est candidat au doctorat en science politique à l’UQAM.