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Le CEIM est dirigé par Michèle Rioux, professeure au département de science politique à l’UQAM

Deux excellentes nouvelles pour le Centre d’études sur l’intégration et la mondialisation (CEIM)

Le communiqué a été publié le 4 mai 2020


Communiqué - 4 mai 2020

Deux excellentes nouvelles pour le Centre d’études sur l’intégration et la mondialisation

Le CEIM obtient du FRQSC un financement de plus de 285 000 $ pour sa programmation La mondialisation dans un contexte de grandes tensions. L’Amérique du Nord dans un contexte de grande tension.

Avec la révolution technologique, tout change très vite : le commerce électronique est en plein essor tout comme l’intelligence artificielle alors que la production se dématérialise et que les chaînes de valeur se recentrent autour des grandes régions du monde. Les accords commerciaux reflètent ces transformations, dans leur contenu comme dans leur orientation géographique. Ils les accentuent aussi, non sans d’ailleurs aggraver les fractures et les inégalités partout dans le monde.

C’est sur ces questions que se penchera l’équipe de recherche financée par le FRQSC au cours des quatre prochaines années. Dirigée par Michèle Rioux, professeure au département de science politique de l’UQAM et directrice du Centre d’études sur l’intégration et la mondialisation, elle est composée de : Mathieu Arès, Université de Sherbrooke ; Rémi Bachand, UQAM ; Christian Deblock, UQAM ; Erick Duchesne, Université Laval ; Geneviève Dufour, Université de Sherbrooke ; Gilbert Gagné, Université Bishop’s ; Romain Lecler, UQAM ; Ting-Sheng Lin, UQAM ; Julien Martin, UQAM ; Éric Mottet, UQAM ; Richard Ouellet, Université Laval ; et Stéphane Paquin, ENAP.

Le CEIM obtient également la reconnaissance de la Faculté de science politique et de droit en tant que centre pour réaliser sa programmation 2020-23. La programmation couvre :
1) l’analyse des accords commerciaux et du régionalisme de troisième génération ainsi que des échecs du multilatéralisme ;
2) l’analyse des transformations structurelles de l’économie mondiale en rapport avec la révolution numérique et les enjeux transnationaux de régulation économique ;
3) le déplacement du centre de l’économie mondiale vers l’Asie-Pacifique ;
4) les enjeux du commerce progressiste et le retour des interventions de l’État ;
5) les fragilités et vulnérabilités de la globalisation.

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