Chaque année, l’Institut de recherche en économie contemporaine (IRÉC) offre 25 000 $ en prix aux auteurs et auteures des meilleurs mémoires et thèses inscrits au répertoire électronique de l’IRÉC. La date limite pour s’inscrire au concours a été fixée au plus tard lundi 1er novembre 2010 à 17 heures.
Il est possible de s’inscrire en ligne dès maintenant sur le site de l’IRÉC à l’adresse suivante : www.irec.net sous l’onglet « Concours », vous trouverez les règlements qui précisent la démarche à suivre pour participer au concours.
Pour être admissibles, les étudiants et les étudiantes de maîtrise et de doctorat en économie devront avoir obtenus leur diplôme entre le 1er janvier 2006 et le 31 août 2010. Les travaux ayant déjà été soumis au concours annuel de l’IRÉC d’une année antérieure ne sont pas réadmissibles. Les auteurs des travaux déposés dans le cadre du concours devront octroyer à l’IRÉC un droit complet de publication sur son site. Les droits d’auteurs partagés ou autres restrictions imposées par les universités devront avoir été levés.
Une copie électronique complète en format PDF ainsi que les autres pièces mentionnées au formulaire d’inscription devront avoir été reçues par l’IRÉC au plus tard lundi 1er décembre 2010 à 17 heures.
L’IRÉC avec le soutien de la société Simplex, location d’outils, remet 25 000 $ en prix aux auteurs et auteures des meilleurs travaux de maîtrise et de doctorat en économie produits dans les universités québécoises. Le prix pour la meilleure thèse de doctorat est de 10 000 $. Deux mentions pour deux thèses remarquables donnent droit à un montant de 3 000 $ chacune. Un prix de 5 000 $ est décerné au meilleur mémoire de maîtrise. Deux mentions de 2 000 $ chacune sont également décernées pour deux mémoires remarquables.
L’institut veut ainsi favoriser la recherche dans le domaine économique, qu’il s’agisse de l’économie générale, de l’économie sociale ou de l’économie politique. Voici les champs d’intérêt de l’IRÉC : les effets de la mondialisation, le développement économique, l’équilibre entre le domaine privé et le domaine public, les centres de décision locaux et nationaux et les conditions économiques des travailleurs et des travailleuses. Ces sujets pourront avoir été traités autant à partir d’une approche économique (micro ou macro) que d’une approche multidisciplinaire ou spécialisée.